Rencontre avec Agnès Gelin

Inspirée par le travail de l’école polonaise et du « père du graphisme » Paul Rand, Agnès Gelin est une de nos élèves sélectionnées pour l’atelier graphisme du défilé 2019. Pour nous, elle revient sur son parcours, son amour de l’image, sa participation à l’atelier et nous dévoile quelques unes de ses créations.

Bonjour Agnès ! Pouvez-vous évoquer pour nous votre parcours ?

Je suis une passionnée d’art et d’images. De plus, j’aime transmettre et partager. Ceci m’a d’abord conduite à travailler en tant qu’iconographe dans un grand groupe de presse magazine, puis à développer des projets culturels et à enseigner en collèges et lycées.

Maintenant, je développe ma propre activité en tant que graphiste et photographe. Je mets en scène la communication des entreprises, je suis créatrice d’images ! Je crée des logos, je travaille sur de l’identité visuelle, ainsi que des documents print et visuels pour le web.

Pourquoi avez-vous choisi de suivre une formation à distance ?

Apprendre en ligne est une grande liberté : travailler à son rythme, en choisissant le lieu, le moment, tout en étant accompagnée ! En plus, je peux développer mon activité en parallèle.

Quel est votre ressenti par rapport à la formation ?

La formation me demande un peu d’organisation et de rigueur, cependant c’est une grande chance de progresser ainsi, je suis ravie !

Pourquoi avez-vous décidé de participer à l’atelier graphisme ?

Je me motive davantage si je me crée des challenges. Élaborer des projets d’affiche avec à la clé cet atelier en est un ! Je peux ainsi concrétiser et affiner mes propositions tout en développant les aspects techniques nécessaires.

Quelles sont, au quotidien, vos inspirations ?

Je privilégie les styles plutôt épurés ou humoristiques, j’aime également l’inattendu. Je m’amuse beaucoup avec les collages ! Pendant la formation, j’ai découvert le talentueux et illustrissime Paul Rand, le « père du graphisme moderne ». Je suis aussi très impressionnée par la créativité de l’affichiste Michal Batory, les lignes simples de Cassandre, les affiches « peintures » de l’école polonaise et parmi les nombreux photographes, je tiens à citer Salgado et son magnifique travail.